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Affaire Y EN A MARRE :

La liberté au bout du compte

La diplomatie est en jeu :
Sans grand bruit M. Macky Sall et son gouvernement gèrent la situation ; des assurances ont été données par le Ministre des affaires étrangères.
Les trois membres de Y en a marre vont être libérés : aucun doute à se faire. Il en sera ainsi des autres membres du balai citoyen et peut-être de filimbi.

Mais … cette passion
Ce qui nous gêne dans cette affaire, c'est cette passion qui est entretenue par des camps antagonistes : Pro Y en a marre et anti Yen a marre. 

Soutenir YEM peut être légitime et noble pour certains ;  ce qui n'est pas le cas pour d'autres qui préfèrent les dénigrer. Quel que soit le camp, il faut éviter de passionner le débat pour si peu en se donnant en spectacle.
Vous me direz que devant pareille situation, il est difficile de garder sa lucidité. Ce que nous reconnaissons. Seulement, à l'avenir, nous retiendrons qu'en exportant notre modèle d'engagement citoyen, nous serons tenus de respecter le contexte du pays d'accueil. Nous retiendrons aussi que nous ne devrions respecter la souveraineté de chaque pays quand bien même nous serions panafricains.

Le modèle congolais n’est sûrement pas démocratique. Mais, laissons aux Congolais le soin de se débarrasser de Kabila fils.

La question du financement de YEM
Une question tout de même sensible, mais que YEM ait recours à l'appui de bailleurs ne devrait nullement choquer étant donné que le mouvement doit avoir les moyens de ses ambitions. Au mouvement de rester fidèle à sa mission ou de s'adapter en assumant tout changement.

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Date de dernière mise à jour : vendredi 02 juillet 2021

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