Ceci n’est pas normal, sommes-nous tentés de dire pour reprendre un des titres du groupe Positive Black Soul eu égard à toutes ces situations auxquelles nous faisons face.
Manque d’eau :
Septembre est en passe de devenir le mois maudit des Dakarois dans la mesure où dans certains quartiers de cette capitale les populations vivent un calvaire indescriptible. Pour échapper aux anciennes habitudes, il faut se entrecouper son sommeil pour remplir bouteilles, seaux, bassines et autres fûts.
Avoir le liquide précieux dans la journée serait un luxe ; au moment où les mesures hygiéniques doivent être multiplier non seulement contre la fièvre à virus Ebola mais aussi contre d’autres autres maladies.
Aucune solution durable n’est apparemment trouvée tant la qualité et la quantité font défaut dans l’approvisionnement en eau potable du Sénégal.
Dara metiwul
Date de dernière mise à jour : lundi 05 juillet 2021
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