Mercredi 21 Mai 2014, Sunumbir aura pris part au premier bivouac initié par l'école Ejicom. Tour à tour, des volontaires auront déclamé des textes de leur choix. Ils nous mirent l'eau à la bouche.
M. Hamadou Tidiane Sy nous aura souhaité la bienvenue. Il fera preuve d'originalité en déclamant un de ses poèmes composé sur la lecture.
A sa suite M. Abdou Rahmane Mbengue proposa un texte de Barthes sur Le plaisir du texte. Aboubacar Demba Cissokho de l’Agence de Presse Sénégalais put ensuite présenter un extrait de Murambi ou le livre des ossements de Boubacar Boris Diop.
L’une des invitées de marque de cette édition des lectures nomades, en l’occurrence la poétesse Mery Bey proposa deux textes tirés de son recueil : l’un avait trait à satan et l’autre à Bamba.
Fatou Kiné Séne du groupe Walf lut un passage de l’ouvrage Debout mon enfant de Seydi Sow.
La journaliste Boly Bah de La Gazette déclama « Quand vous serez bien vieille » du poète de la Pléiade Pierre de Ronsard.
Le spécialiste des questions de culture au Quotidien nous fit part de son texte aux allures de testament.
Ousmane Badiane parcourut un texte tiré d’un roman écrit par un Mauritanien.
Adja Fatou Diarra, étudiante à Ejicom ouvrit Le pagne noir de Bernard Dadié.
La pertinente Charte du Mande fondée sur l’entente et la concorde fut lue par M. Abdoulaye Séne.
Aloyse Ndione apporta une touche particulière à la séance en présentant son texte consacré aux enfants non-voyants.
M. Momar Niang d’Ejicom s’intéressa à l’écrivain britannique Oscar Wilde dans ses réflexions sur l’œuvre d’art.
M. Arona Basse du Quotidien proposa un texte tiré du livre Réflexions d’un chien.
Il céda la place à l’autre hôte de marque Ndéye Fatoo Kane auteure du roman Le malheur de vivre. Elle fit la présentation de son livre en proposant l’aperçu donné par son grand- père M. Cheikh Hamidou Kane. Elle répondit aux questions posées par le public sur son inspiration, la suite à donner à son ouvrage, les coïncidences entre son personnage et l’écrivaine, etc.
M. Sy Directeur de ladite école nous invita au cocktail. Une photo mit un terme à cette rencontre riche en enseignements.
Vivement un autre bivouac !